Le président Américain Joe Biden s’oppose violemment aux Etats qui lèvent l’obligation du port du masque
La victoire de Joe Biden, ce n’est pas seulement celle du Parti démocrate ou de Joe Biden. C’est beaucoup plus large, c’est beaucoup plus profond. C’est la victoire d’une certaine idée de l’Amérique, d’une certaine idée de la démocratie, d’une certaine idée du vivre-ensemble. Ce résultat, c’est une Amérique qui renaît, qui reprend ses droits et sa dignité. Plusieurs évoquent un désir de retour à la normalité. Du calme et du repos après quatre ans de branle-bas de combat continu et d’une très mauvaise gestion de la Covid-19.
Le nouveau gouvernement américain semble très investi dans la lutte contre le coronavirus. En effet, le troisième vaccin autorisé et administré aux Etats Unies après celui de Pfizer et Moderna a récemment fait surface sur le marché : le Johnson and Johnson.
Depuis quelques mois déjà, les Etats Unies ont entrepris une massive campagne de vaccination contre cette pandémie: on compte aujourd’hui 78 millions de doses injectées, en tout à 15% de la population et ce nombre ne fait qu’augmenter de jours en jours.
Ainsi, une partie de la population ne trouve plus nécessaire de respecter les gestes barrières.
Au Texas ou au Mississippi par exemple, les autorités annoncent que le port du masque n’est désormais plus obligatoire et que tous les commerces rouvriront leur portes normalement, dès la semaine suivante, sans être obligés de suivre aucune restriction sanitaire. pourquoi? comment le justifient-ils?
Le président Joe Biden, consterné devant de tels propos, n’est pas du tout d’accord et réagit immédiatement. Il appelle la population américaine à continuer de respecter toutes les règles sanitaires et leur demande de rester vigilant afin d’éviter une nouvelle vague de contagion. comment expliquer le décalage/désaccord entre l’échelle fédérale et celles des Etats?
Toutefois, les habitants sont lassés par un an de pandémie et voient le nombre de nouveaux cas quotidiens diminuer considérablement au cours de ces dernières semaines (début février, il devient inférieur à 100 000, ce qui n’était plus arrivé depuis le mois de novembre).
Ils risquent alors de ne pas forcément suivre ces réclamations, ce qui pourrait effacer tout le progrès accompli par les Etats Unies et engendrer une nouvelle hausse dans le nombre de contagions.
les États-Unis ne reviendront pas à la normale. Ils sont profondément marqués. Les plaies sont béantes et les blessures prendront du temps à cicatriser.
Un retour à la normalité indique aussi un retour à des circonstances qui ont justement permis à Trump de se faufiler à la présidence des États-Unis.
les États-Unis ne reviendront pas à la normale. Ils sont profondément marqués. Les plaies sont béantes et les blessures prendront du temps à cicatriser.
Un retour à la normalité indique aussi un retour à des circonstances qui ont justement permis à Trump de se faufiler à la présidence des États-Unis.
les États-Unis ne reviendront pas à la normale. Ils sont profondément marqués. Les plaies sont béantes et les blessures prendront du temps à cicatriser.
Un retour à la normalité indique aussi un retour à des circonstances qui ont justement permis à Trump de se faufiler à la présidence des États-Unis.
les États-Unis ne reviendront pas à la normale. Ils sont profondément marqués. Les plaies sont béantes et les blessures prendront du temps à cicatriser.
Un retour à la normalité indique aussi un retour à des circonstances qui ont justement permis à Trump de se faufiler à la présidence des États-Unis.
Les États-Unis reviendront-ils à la normale après quatre ans de “destruction”? Il est évident qu’ils sont profondément marqués. Les plaies sont béantes et les blessures prendront du temps à cicatriser. Un retour à la normalité indique aussi un retour au respect des valeurs et de la gestion de la pandémie.
Sirina ARISS, Première